Alors d'une, malgré un premier trimestre en triple zéro côté production, je devrais atteindre les 1500 litres de bière produites à la la fin de l'année, ce qui n'est pas si mal pour une activité du week-end, en plus de nounou les mardi et jeudi soir, président d'une asso de musique et du titre de "mainteneur en chef" des bâtiments et du matériel d’une exploitation agricole ...
Pour poursuivre dans la forfaiture, la Lambière a rempilé comme bière officielle de FestivEole (à Leouville) et c'était un très bon moment (là je ne parle que de produit brassicole, sinon il faudrait plusieurs pages pour les artistes qui s'y sont produits) !
J'ai aussi profité lâchement de mon compteur de congés pour m'exiler jusque dans les frontières les plus à l'est du territoire, non pas pour capturer de ci, de là, quelque Pokemon en fuite, mais pour revenir, triomphant de ce beau périple avec pour seul Graal un tube à essai hébergeant la souche de levure n°88, alias souche Pelican.
Une super formation dans un lieu magique que seul le Musée Français de la Brasserie peut offrir.
En guise de conclusion, je suis ravi que mes bière plaisent, que les marchés à la ferme soient l'occasion d'échanges sur les arômes et les goûts de chacun, que les ventes de fûts aient pris une belle envolée en 2016 et permettent de faire découvrir des produits brassés artisanalement aux alentours de la brasserie.
J'attends avec impatience de découvrir ce que ce brassin nous révélera en saveurs brassicoles.
Pour les recettes, c'est juste ... chut !!!
